C’est vendredi dernier, la veille du match contre Bordeaux au Vélodrome que nous nous sommes retrouvés au stade pour récupérer la voiture qui y était garée.

Un groupe de personnes attendait devant le parking, visiblement pas mal de touristes.

Ils allaient sûrement visiter le stade et attendaient un guide.

On s’est dit que quand même, on allait attendre un peu, pour voir, au cas où…

Et on a vu !

Un par un tous les joueurs de l’OM sont arrivés, la plupart dans des petites voitures, seuls ou amenés par quelqu’un (les plus jeunes joueurs on à peine ou pas encore 18 ans !) d’autres dans de véritables monstres aux vitres teintées.

Presque tous se sont arrêtés pour signer des autographes et faire des photos avec les supportes qui attendaient.

Une belle rencontre improvisée ! En sachant, maintenant,  à quelle heure ils viennent s’entraîner, la prochaine fois on prendra l’appareil.

En attendant, vivement ce soir !!

Après un long moment sans publier, non pas parce que je n’avais rien à dire mais simplement par manque d’envie de me lancer dans une mise à jour du blog, me voici de retour avec un article et de nombreuses photos à l’appui que vous pourrez consulter sur le lien en bas de l’article.

Tout cela porte sur un évènement qui a eu lieu ce vendredi sur le vieux port : la venue de Tom Cruise à Marseille pour l’avant première (mondiale !) du film de Steven Spielberg : La guerre des mondes !

Récit : …

Nous sommes arrivés vers 14H30 sur le Vieux Port et il y avait déjà du monde, l'écran géant annonçait la venue de Tom Cruise à 16H, finalement c'est à 16H45 qu'il est arrivé par bâteau en compagnie de sa nouvelle fiancée, l’actrice Katie Holmes (à l’affiche de Batman Begins actuellement) aussi belle que visiblement intimidée par tout ce monde qui criait aussi son nom et réclamait au couple des bisous pour les photos...

C’est donc un Tom Cruise tout sourire, détendu et impressionné par l’accueil qui lui était réservé qui est descendu du bâteau qui l’amenait.

Il a été accueilli par le maire, Jean-Claude Gaudin et Renaud Muselier, ancien secrétaire d’état et premier adjoint de Gaudin qu’il a franchement embrassé comme si il le connaissait depuis toujours.

Puis, ils sont allés sur le podium où Gaudin lui a remis la médaille de citoyen d’honneur de la ville en lui précisant qu’il était dans la deuxième ville de France, une ville qui aime le cinéma.

Il a rappelé fièrement au passage qu’on lui avait dit que c’était de la folie, qu’il n’arriverait jamais à faire venir Tom Cruise à Marseille mais qu’il savait que c’était possible (il avait déjà fait venir George Clooney en août 2000).

Il n’était pas peu fier de tenir la main de « la star américaine qu’il a découvert dans Top Gun » et Tom semblait ravi de cet accueil et de tant d’éloges.

Après le podium, il est ensuite allé à la rencontre du public en se montrant très abordable, discutant avec les uns et prenant des photos avec les autres.

Il a ensuite été interviewé par les journalistes présents, pendant une bonne demi-heure, pendant ce temps, nous étions véritablement en train de cuire à l’autre bout de la barrière, cette journée était vraiment caniculaire et avec le recul, c’était de la folie d’attendre en plein soleil, sans aucune ombre pendant plus de 4H. Heureusement, on avait pris beaucoup d’eau dans des sacs isothermes et puis les vigiles étaient sympas, ils remplissaient les bouteilles d’eau de tout le monde ou en distribuaient des packs entiers à la foule.

Pendant que Tom se faisait interviewer, nous avons vu débarquer en bateau également la jeune actrice Dakota Fanning qui joue le rôle de la fille de Tom Cruise dans le film, elle a à peine 12 ans et était accompagnée de sa maman. Dès son arrivée elle a été interviewée par une journaliste américaine qui est ensuite venue près de nous avec son caméraman et son preneur de son pour tourner une séquence illustrant l’arrivée de Tom Cruise à Marseille.

La séance de dédicace a ensuite repris, ça a duré encore une heure avant qu’il arrive dans notre direction, aux barrières où nous nous trouvions.

La chaleur devenait vraiment insupportable, d’autant plus qu’au fur et à mesure qu’il arrivait dans notre direction, les gens venaient se greffer à nous.

Finalement, quand il est arrivé à notre niveau, j’ai levé notre DVD d’Eyes Wide shut (celui du coffret Kubrick) car nous étions tous tellement serrés, étouffés, que je savais que si je ne levais pas le bras à ce moment là, après, je ne pourrais plus ensuite.

J’ai tendu mon DVD à une des journalistes qui étaient ave lui et elle le lui a donné, mais au moment de le récupérer, j’ai bien cru que je ne le reverrais pas car il y avait des filles plus grandes que moi devant moi et une à côté qui a profité de la bousculade pour me donner de gros coups de coudes pour passer devant moi.

Je tendais la main pour récupérer mon DVD mais celle qui le tenait (Jenny Godula : à Exclusif) ne me voyait pas.

J’ai crié « Eyes Wide shut !!! » et un vigile américain a récupéré le DVD et nous l’a rendu.

J’ai encore attendu un moment histoire de profiter du passage de Tom près de moi avant de sortir de la foule, de toutes façons, pendant tout le temps qu’il était là, j’étais totalement coincée, je ne pouvais pas bouger.

J’étais vraiment au bord des barrières à 2 mètres de lui et j’aurais pu faire d’autres belles photos si Fréd n’avait pas été emporté au loin par la foule avec l’appareil.

On est repartis ravis mais épuisés d’avoir attendu plus de 4H en plein soleil et de s’être battus dans cette foule. On a repris le métro tranquillement en échangeant nos impressions et en admirant notre DVD signé et on a repris la voiture où une glacière de boissons fraîches nous attendait.

Le soir on a pu voir sur France 3 les images filmées l’après-midi et également une interview de Tom au journal de France 2.

Le lendemain et aujourd’hui dans le journal, on pouvait lire le récit de cette journée, et même savoir de quoi Tom Cruise avait parlé avec notre maire au cours du dîner très privé le soir : de Marseille (il s’est montré étonné qu’on y tourne 120 films par an et aussi que la ville fête son 26^ème centenaire), de Pagnol dont il connaît l’œuvre, des monuments de la ville… D’après le journal, Gaudin s’est montré plus prolixe que jamais (si c’est possible !!) et la traductrice avait du mal à suivre…

Tom et sa fiancée sont sans aucun doute repartis conquis (en plus, lui a pu conduire quelques instants le TGV Méditerranée privé qui l’amenait le matin de Paris à Marseille) et nous aussi, pas du tout déçus, car nous avons découvert quelqu’un de relativement abordable et très sympathique. Et puis tellement beau !!!! 

Vous trouverez les meilleurs photos en cliquant sur ce lien : http://membres.lycos.fr/chowchinglie/images/tomcruiseamarseille/

J’attends vos réactions, à très vite donc…

Eh oui, ça faisait un moment que je n’avais pas publié mais ces derniers temps, j’ai vraiment été très occupée ! Je profite donc de mon blog, en attendant un prochain vrai article pour revenir sur cette fin de semaine…

Le 6 avril c’était mon anniversaire. Mais ce n’est qu’une date–repère.

Parce que mon anniversaire a duré tout le mois !!

Il a en réalité commencé 2 jours avant, avec la sortie de l’album de Mylène, et il se termine à peine maintenant.

Etalé sur 3 semaines, j’ai pu en profiter totalement en faisant la fête chaque semaine avec des personnes différentes.

Et tout ça s’est terminé vendredi soir par une soirée à la maison avec les copains qui a duré jusqu’à 5H30 et dont nous avons tiré 163 photos !!

Cet article est donc un grand merci à mon chéri tout d’abord, qui a rendu tout ça possible en m’aidant au maximum à tout préparer et à tout organiser et un grand merci aux copains pour leur présence en général et particulièrement vendredi soir (et merci pour les cadeaux, celui de vendredi et ceux que j’avais déjà eus avant- Merci Toto !!).

A refaire très rapidement !! Vivement la prochaine soirée-piscine !!

Pour ceux qui étaient présents vendredi soir (la dream team, donc !!), sachez que je ne peux pas mettre mes photos ici en ligne, donc je vais les mettre ailleurs et je vous enverrai le lien par mail pour aller les récupérer.

Je mets à peu près la moitié en ligne car certaines sont plus qu’en double ! (prendre en photos le lampadaire 20 fois quand on va faire un foot dans le parc derrière le jardin n’a qu’un intérêt moyen, hein, Yaoshi !!)

Il y en a donc 87, je les laisserai en ligne au moins 2 semaines le temps que tout le monde puisse les récupérer.

Encore un grand merci à tous !!

Et à très vite…

Ce nouvel article portera donc sur le roller. Mes rollers, en photo ci-dessus.

Tout a commencé en octobre ou novembre dernier quand mon chouchou me dit que je devrais penser à m’acheter des rollers. Lui en avait et si je m’en achetais, on pourrait s’y mettre sérieusement.

Disant cela et puisque nous étions à Décathlon, il me repéra de mignons patins mauves. J’hésitai, j’avais fait du patin à roulettes entre 12 et 15 ans mais c’étaient les anciens patins à 4 roues avec tampon-frein à l’avant, rien à voir avec les rollers en ligne de maintenant. Et même si j’avais fait aussi du patin à glace, j’avais vraiment peur…d’avoir peur.

Décision fut donc prise de me faire essayer les siens (qui datent quand même de quelques années) avant de m’en acheter histoire de voir si  je n’aurais pas trop peur et si je tiendrais dessus.

J’essayais donc sur quelques mètres devant la maison, « pour voir ».

Mais même avec son aide et la meilleure volonté du monde, les patins en question faisaient 6 tailles au dessus de la mienne et même en serrant très fort, je bougeais beaucoup à l’intérieur, ce qui n’aidait pas à me mettre en confiance.

L’expérience ne fut donc pas renouvelée et comme l’hiver arrivait, on ne reparla plus du roller.

Et puis récemment, j’ai eu l’occasion de voir un ami et sa copine en faire. Lui avait débuté il y a quelques temps, elle en faisait depuis plus longtemps et se débrouillait bien. On était au parc près de la plage à 4 et j’ai eu très envie d’essayer !!

On irait donc m’en acheter. Dès notre retour à la maison, je commençai à chercher sur internet sur le site de Décathlon qui, par chance est à deux pas  de chez nous.

Bien sûr, les mignons patins mauves d’il y a 5 mois n’y étaient plus, j’en repérai donc d’autres pour finalement et après essai, en prendre une paire différente une fois dans le magasin.

C’est ainsi que j’ai eu mes rollers (voir photo en haut de cet article, donc) et qu’après avoir fait 2 pas sur la terrasse, nous sommes partis les essayer.

Quelle expédition ! Car quand on ne trouve pas de place près de l’entrée d’un parc, on se gare plus loin, mais alors on met ses rollers à la voiture et après il faut traverser la rue !!

Rien que ça, ça m’a pris un temps fou ! De gentils automobilistes me faisaient signe de traverser la rue mais je leur faisais signe « Non, non !! Passez !! »

Bref, après beaucoup d’hésitations, j’ai enfin pu traverser cette rue. Mais c’était loin d’être la fin de mon périple. Heureusement qu’il y a le « mobilier urbain », poteaux, poubelles, lampadaires, grillages car au tout début je m’arrêtais tous les 10 mètres (et même moins), moitié par peur de tomber, moitié parce que comme j’étais crispée j’avait terriblement mal aux chevilles !!

Et puis il n’y eut plus de grillage auquel se raccrocher. Et même pire, les lampadaires espacés étaient dans la pelouse, ce qui fait que pour m’y arrêter il fallait que je me dirige !!

Et encore, je n’avais pas trop à me plaindre car le parc où nous étions est très grand mais vraiment plat.

Heureusement, mon coach personnel m’incitait sans arrêt à y aller (c’est tellement facile et tentant de dire qu’on n’y arrive pas et de laisser tomber), et même, après un moment il m’interdisait de m’accrocher aux poteaux et autres poubelles : le meilleur moyen pour apprendre à faire de plus longues distances d’un seul trait.

Facile à dire…C’était dur et décourageant, surtout quand il y avait une petite inclinaison du terrain et rien pour se raccrocher ! C’est très déroutant de ne plus rien contrôler !

Heureusement il m’aidait et il a su rester ferme quand j’étais prête à paniquer.

Du coup, pour le retour vers la voiture, en se tenant la main, on a roulé sans presque s’arrêter le long de la route longeant la plage et nous sommes repartis, moi fatiguée (surtout les chevilles, ouïe ouïe ouïe, pas évident de conduire juste après !) mais relativement fière de moi (j’ai eu peur mais je ne suis pas tombée et même en y mettant le temps, je suis arrivée à faire avec lui le long tour du grand parc !) et décidée à recommencer le week-end prochain.

Je pense que je vais progresser. C’est comme la nage, j’ai su nager tard (12 ans) mais après, je n’ai plus jamais eu peur.

Donc le roller, c’est comme tout, ça viendra à condition de persévérer. Mais pour une première fois je suis plutôt contente. A suivre !

A très vite, donc…

Voilà, après 6 ans d'attente, le tout nouvel album de Mylène est enfin entre mes mains.

Je l'ai reçu hier, jour de sa sortie en cadeau d'anniversaire (avec deux jours d'avance, merci mon chéri !!  ) et après la troisième écoute ce soir, je dois dire objectivement (?) que je suis à fond !!

A l'image de son prédécesseur, "Innamoramento", "Avant que l'ombre..." est un bijou.

Si la veine Farmer est toujours la même, Mylène se permet d'aborder des tons plus chauds, plus graves, plus "chantés" (exemple : Le morceau – titre : « Avant que l’ombre… »)

Les textes sont plus "crus" sur les chansons plutôt sexe (« QI », « Porno Graphique ») et plus explicites sur les autres.

Cet album rappelle beaucoup "Innamoramento" non seulement parce qu'il est aussi travaillé (les textes sont toujours aussi sublimes), parce que le premier extrait "Fuck them all" y fait un peu figure d'OVNI comme l'avait fait en son temps "L'Âme Stram Gram", premier extrait d'"Innamoramento", et aussi parce c'est la continuité du thème de l'amour qui y avait été abordé, sauf que cette fois l'amour n'y est plus naissant mais a été consommé, parfois même consumé et que la question qui peut le résumer n'est plus "L'amour, peut-être ?" mais "L'amour, jusque où et comment ?"

De même et, par conséquent, la sexualité qui est abordée ici n’est plus la même, provocatrice, qu’avec « Libertine » ou « Pourvu qu’elles soient douces », elle est mature et assumée, moins suggérée (comme à l’époque d’ »Eaunanisme » ou de « California »).

Les jeux de mots, les assonances et autres figures de styles sont toujours présentes, mêlées souvent à des mots plus directs, comme si le fait d'avoir écrit deux albums pour (feu ?) Alizée, lui avait permis de briser un peu le mur de glace.

Disons que pour ceux qui n'ont jamais rien compris aux textes de Mylène, cet album sera plus accessible sans rien perdre de sa qualité, c'est du haut niveau et je pense que mon avis ne fera que mûrir au fur et à mesure des écoutes (c'est à dire en moyenne trois fois par jour pour le moment, vive les clefs USB qui lisent les MP3, la musique sur le PC et tout ce petit matériel qui nous facilite la vie !!).

Tel avait été le cas avec "Innamoramento" dont j'étais tombée amoureuse à la première écoute, il en va de même cette fois mais le sentiment est plus doux, pas de gros choc (comme c'était le cas avec les choeurs africains) mais plein de bonnes petites surprises (instruments, champs lexicaux, rythmiques...), on continue dans les thèmes de l'amour et de la mort mais avec un côté un peu plus mystique encore.

Comme le précédant, cet album est bourré de singles potentiels que ce soient des ballades ou non, sur 14 titres (+1 en bonus), 12 à 13 sont singlelisables !!! (Moi aussi Mylène, je fais des néologismes !!)

Bien évidemment, deux, voire trois lectures de chaque chanson sont possibles.

L’album est un mélange de « L’Autre » (l’album) et d’ »Innamoramento » dans le sens où c’est un mélange entre le « Je » et « L’autre ». (Vous arrivez à suivre ??)

Les mélodies sont vraiment très belles et efficaces, j’ai plusieurs coups de cœurs, dont un vraiment très fort pour « Dans les rues de Londres », probable hommage à Virginia Wolf.

Last but not least, une chanson en bonus donc sur la piste 14 (à 5 minutes 30 à peu près) et le DVD single du clip "Fuck them all" avec son making of de 20 minutes qui est à l’image du clip : bien sympathique et esthétique mais pas exceptionnel (comparé au making-of du clip de « L’Âme Stram Gram » réalisé par Shing Siu Tung)

Bref, une superbe album qui commence à nous faire rêver à ce que nous verrons en 2006 à BERCY !!!

Mon chéri et moi on y sera (on a acheté nos places le jour de leur mise en vente sur internet en décembre dernier et il n'y aura que 13 concerts à Paris, pas un seul en province) et cet album nous promet de bien belles choses !!

Que du bonheur en perspective !!!